The Patents for Pauly Guns and Cartridges by Plomdeur, Cessier, and Delebourse

There have been many articles written about Jean Samuel Pauly and his contribution to the history of firearms development. One excellent source recently looks in detail at the patents by Pauly, Roux, Picherau and Lefaucheux. You can read about it here:

Priestel dives deep into the modifications by Pauly and the successors to Pauly’s company, but there are a few other improvements to the Pauly system by other prominent gunmakers of the day that are not addressed in this publication. A couple of these were mentioned in a French gun magazine’s article in the 1970s, but other than the brief mention there, there is nothing I could find published that goes into detail on the following improvements to the Pauly gun and cartridges.

So I gathered the patents, transcribed them and will detail the improvements here!

Jacques-Joseph Plomdeur | 1825-03-31

Jacques-Joseph Plomdeur was a well known gunmaker who had a business at 25 rue des Fossés-Montmartre and later at 5 bis, rue du Faubourg-Poissonnière. He was best known for his improvements to primers and percussion caps which he held a few patents on. In the 1830s he took out many advertisements for his improvements to guns and primers such as the following:

Le Charivari, 10 septembre 1837
Le Charivari, 10 Sep 1837
Le Constitutionnel, 13 septembre 1837
Le Constitutionnel, 13 Sep 1837
Le Siècle, 28 septembre 1837
Le Siècle, 28 Sep 1837

On 31 Mar 1825, Plomdeur took out a French patent for 5 years for an improvement on Pauly guns.

There are two main areas that he addresses. First is how the hammer is connected to the plate, passing all the way through, which allowed for considerable fouling throughout the inside.

The second addresses a weekness that was added to the guns with Roux’s improvement in 1823 of allowing for cartridges with nipples on the base. Plomdeur states that guns were being modified to allow for Roux’s cartridge by taking a slice out of the “rocker” to allow for the extra space needed for these cartridges with nipples.

Portion of drawing from Roux's 1823 patent showing the weakened rocker
Portion of drawing from Roux’s 1823 patent showing the weakened rocker

He fixed this by instead creating a new primer that was in the shape of a mushroom. This mushroom-shaped primer would fit down into his new rosettes, eliminating the need to weaken the rocker and allowing the piston to hit much closer to the charge, and have better results igniting the powder.

Portion of drawing from Plomdeur's 1825 patent showing his mushroom-shaped primers
Portion of drawing from Plomdeur’s 1825 patent showing his mushroom-shaped primers

French Transcription of patent:

Brevet d’invention et de perfectionnement de cinq ans 
Perfectionnement fait par Monsieur Plomdeur sous-signé, fabricant armurier à Paris rue des Fossés- Montmartre au numéro 25, au fusil de l’invention du Sieur Pauly, dit fusil à la Pauly. Et l’invention d’une nouvelle amorce construite en cuivre en forme de champignon. 
Après avoir examiné attentivement la confection du fusil à la Pauly dans tous ses détails, on n’est point sans y remarquer de graves inconvénients que le Sieur Plomdeur sous-signé a cherché non sans fruit à éviter. Le plus grave de ces inconvénients est l’encrassement considérable de l’intérieur de la platine immédiatement après la décharge du fusil et au moment de sa réaction. Cet inconvénient était occasionné par l’occupation des deux marteaux de la noix à l’intérieur traversant le corps de la platine (figure 4 du dessin Pauly F). Un des autres inconvénients est encore la largeur des ouvertures faites pour livrer passage à la bascule sur les cheminées adaptées sur les rosettes, ouvertures qui affaiblissent la bascule et livrent un nouveau passage à la crosse de la décharge (même dessin, figure 5 point R.)
Pour éviter le premier de ces deux inconvénients, le Sieur Plomdeur a jugé convenable de supprimer entièrement les marteaux à la noix, comme ils sont dénommés ci-dessus et de les remplacer par un marteau (figure 4A ………) réservé à l’intérieur du chien qui se trouve toujours placé dans la même forme que celui de Pauly, lequel marteau ayant plus de chasse va frapper le piston qui se trouve incrusté dans l’épaisseur des pièces de côté (figures 2 et 7D et figure 10.C) qui va lui-même frapper sur l’amorce qui se trouve placée au centre de la rosette. 
Le Sieur Plomdeur, pour arriver à l’entier perfectionnement de cette arme, a inventé une nouvelle forme d’amorce dite « forme de champignon », construite en cuivre. (Voyez un des modèles ci-joint et la figure 5 et 5bis). Par cette amorce, il obtient la suppression de la cheminée que les possesseurs actuels du brevet Pauly ont rapporté sur la rosette pour le mettre à l’essai de l’amorce à capsule de cuivre ; il évite l’inconvénient de faire de si grandes fentes dans la pièce de bascule comme on l’a dit plus haut (dessin Pauly figure 5.R.) et rapproche de la charge le feu de l’amorce de toute la longueur de la cheminée supprimée. 
La description et les détails ci-dessus dessinés par le Sieur Plomdeur sous-signé pour être joint aux modèles et dessins des dits objets inventés et perfectionnés pour être déposés à la Direction des Brevets d’Invention à l’effet d’obtenir un brevet d’invention pour les dites amorces de perfectionnement pour le fusil. 
A Paris, ce 28 décembre 1824 
Plomdeur 
Arquebusier, rue des Fossés Montmartre numéro 25, Paris 


A son Excellence Monseigneur le Ministre de l’Intérieur Monseigneur, 
Le Sieur Plomdeur, fabricant armurier demeurant à Paris, rue des Fossés Montmartre numéro 25, a l’honneur de vous adresser sous cachet les dessins modèles et désignations d’objets de son état par lui perfectionnés et inventés et par lesquels il prie votre excellence de lui en accorder les brevets de perfectionnement et d’invention. A cet effet, il fournit les fonds qui sont demandés pour jouir pendant cinq années du privilège qui doit lui être accordé comme inventeur et comme ayant perfectionné. 
Il a l’honneur d’être de votre excellence, Monseigneur, le très humble et très obéissant serviteur.
Paris le 28 décembre 1824 
Plomdeur, 


Dessins des changements faits par le Seigneur Plomdeur du fusil dit à la Pauly et de ses perfectionnements ainsi que des ressources de son invention dite forme de champignon. 

Fig 1: Pièce de côté vue intérieurement  
Fig 2: Piston
Fig 3: Bascule
Fig 5: Dessus de la rosette
Fig 5: Profil de la rosette
Fig 5 bis: Profil de la amorce
Fig 8: Corps de Platine
Fig 9: Bascule vue intérieurement
Fig 10: Bascule rue de face 

Dessin déposé par le Sieur Plomdeur à l’appui de sa demande d’un brevet formé à la préfecture de la Seine le 29 décembre 1824. Paris, le 31 mars 1825 Le ministre secrétaire d’état au département de l’Intérieur Corbière Approuvés les présents dessins pour être joints à la demande par moi formé pour obtenir un brevet de perfectionnement du fusil à la Pauly et un brevet d’invention pour les amorces en forme de champignon. Paris, le 28 décembre 1824 J signé …… Plomdeur

Jacques-Joseph Plomdeur | 1825-11-17

Later the same year, Plomdeur took out an addition to the above patent adding another imporivement that shows up in some surviving guns. He claims to “discover the means of suppressing the large collection of rosettes with which the hunter was obliged to be provided to make use of this weapon.”

Cased gun showing many rosettes, as shown on page 41 of Jean Samuel Pauly, Henri Roux, and Successors by George Priestel
Cased gun showing many rosettes, as shown on page 41 of Jean Samuel Pauly, Henri Roux, and Successors by Georg Priestel

He did this by making the rosette stronger by being made of molten steel and lined with platinum. He then attached them to the frame of the gun by a “fork” which held the rosette and swiveled back and forth to load a cartridge. This presumably worked well with his earlier invention that allowed the rosette to accept a mushroom-shaped primer cap.

Gun attributed in the book to Roux, as shown on page 45 of Jean Samuel Pauly, Henri Roux, and Successors by Georg Priestel

French Transcription of patent:

Le Sieur Plomdeur (Jacques Joseph) arquebusier, rue des Fossés Montmartre, numéro 25 à Paris, breveté de perfection le 31 mars 1825 pour les différentes améliorations qu’il a opérées au fusil connu sous le nom de fusil à la Pauly, vient de nouveau de découvrir le moyen de supprimer la grande collection de rosettes dont le chasseur était obligé d’être muni pour faire usage de cette arme pour rapporter à chaque cartouche qui en forme le culot. Il a trouvé le moyen de n’avoir que deux rosettes au culot en acier fondu et garni en platine qui se conduisent en étant ..tant et en arrière sur le corps de platine par le moyen d’une espèce de fourche qui est rapportée sur le corps de platine et sur laquelle fourche deux rosettes marche en coulisse (voyez figure A). La rosette portant une queue de huit lignes de long donne la facilité de la retirer en arrière afin de pouvoir placer la cartouche dans le canon et de replacer la rosette aussitôt la cartouche placée. 
La description et les détails ci-dessus dressés par le Seigneur Plomdeur sous-signé pour être joints aux modèles et dessins des dits objets perfectionnés pour être déposés à la Direction des brevets d’invention, à l’effet d’obtenir une addition au brevet d’invention et de perfectionnement qu’il a obtenu le 31 mars dernier. 
Présenté le 10 octobre 1825
Plomdeur 
Monsieur son Excellence 
Monseigneur le Ministre secrétaire d’état 
Au département de l’intérieur 


Monseigneur, 
Le Sieur Plomdeur (Jacques Joseph), arquebusier, rue des Fossés Montmartre, numéro 25 à Paris, a l’honneur d’adresser à votre Excellence un moyen de perfectionner l’arme connue sous le nom de fusil à la Pauly pour laquelle il a déjà reçu un brevet d’invention et de perfectionnement le 31 mars 1825. 
Le moyen de perfectionnement dont il donne les détails et la description lui ont parus dignes de fixer l’attention de votre Excellence puisqu’il tente à simplifier l’arme sans rien ôter à sa dureté et à sa solidité et il est espéré que l’examen qui sera fait de cette nouvelle découverte lui méritera votre approbation et une addition au brevet qu’il a déjà obtenu. 
Il est avec un profond respect,  Monseigneur, de votre Excellence, le très humble et très obéissant serviteur Paris, le 10 octobre 1825


Ministère de l’Intérieur
Comité consultatif des Arts en manufactures 
Séance du 3 novembre 1825
L’explication que le Seigneur Plombeur fournit à l’appui de sa demande d’un certificat d’addition au brevet de perfectionnement qu’il a précédemment obtenu étant claire et suffisante, le comité est d’avis que ce certificat peut être délivré. 
Guillard D’Hannouville A.Ampère, Brenary 


Présenté par JJ Plomdeur le 10 octobre 1825 rue des Fossés Montmartre numéro 25 à Paris. 
Dessin déposé à l’appui de la demande d’un brevet de perfectionnement et d’addition formé par le Sieur Plomdeur à la Préfecture de la Seine le 10 octobre 1825. 
Paris, le 17 novembre 1825 
Le Ministre secrétaire d’état au département de l’intérieur

Jean-Baptiste Cessier | 1826-11-10

J. B. Cessier was another well known gunmaker of the day. He focused on high quality percussions pistols and rifles and had various patents.

Image courtesy of Musée d'Art et d'Industrie
Image courtesy of Musée d’Art et d’Industrie

In 1826 he took out a patent for an improvement to the Pauly guns. He explains how the Pauly system has gone through many modifications since its beginning. He talks about how some have tried removing the rosettes or making them of a more durable metal. But all failed because it was impossible to hermetically seal the breech and would allow smoke to flow all through the action. He talked about how some even tried to add a nipple on the cartridge but even this fails for reasons that the primer sometimes falls off, or the shooter has to constantly check to make sure the primer is placed on the cartridge in any of the above scenarios. He also mentions on some of the external percussion versions (such as Picherau’s) have a hard time always igniting the charge through the paper, especially with it being so far away from the cartridge.

To solve these issues he creates a modification to the gun and the rosette.

I have colored the relavent parts to better explain his improvement. On the rosette (yellow) he places a shoulder (blue) that lines up with a new internal nipple on the rocker (red). The internal nipple has a direct line from the external nipple where the cap is placed. The internal nipple rests in this pan shape on the rosette to better focus the ignition into the charge of the cartridge without the need for any secondary primer powder or pill outside the rosette.

He said that this made it much more effective and safer and cleaner.

French Transcription of patent:

Description de l’invention et du perfectionnement faite au fusil à piston dit à la Pauly par cessier arquebusier 
Boulevard Montmartre numéro 10 
Les fusils de l’invention Pauly ont subi bien des modifications depuis leur origine : aux amorces de poudre fulminante en petits grains ont succédé celles en pilules enveloppées de cire et celles à capsules en cuivres généralement adoptées. Ces changements, fruits du temps et de l’expérience, ont dû en amener dans la construction de l’arme. Quelques fabricants ont imaginé qu’on pouvait supprimer la rosette en cuivre qui sert de base à la cartouche, ou qu’on pouvait en substituer une autre en métal plus dur et par conséquent plus durable. En cela, ils se sont trompés, parce qu’on a reconnu l’impossibilité de clore hermétiquement et solidement l’orifice du tonerre du canon par la superposition ou l’application d’un corps sur cette partie que le coup de fusil disjoint toujours et par laquelle s’échappe un crachement considérable de fluide et de fumée. D’un autre côté, une rosette en métal plus dur grippe souvent avec la bascule et n’a pas le frottement toujours si doux du cuivre. Les autres ont placé l’enclume, destinée à recevoir la capsule à amorce indifféremment sur la rosette qui tient à la cartouche, ou sur le canon en laissant une rosette à poste fixe et à charnière sur le corps de platine. Ces deux nouveaux moyens possèdent des avantages comparativement aux précédents mais ils nous paraissent encore offrir les inconvénients suivants auxquels nous avons taché de parer. Dans le premier cas, l’amorce doit toujours être placée sur la cartouche quand on charge et il arrive souvent qu’en abaissant la bascule, la capsule à amorce est froissée et se détache, ce dont le chasseur ne peut être assuré qu’en levant une seconde fois ladite bascule ou après avoir tiré et raté, et vous avez de plus l’inconvénient de ne pouvoir juger de suite de l’inspection de votre fusil, s’il est amorcé. Ce perfectionnement laisse également subsister la complication du mécanisme de la bascule et la communication avec l’intérieur de la platine. 
Dans le second cas qui est celui où on place le tonnerre du canon, il faut que le feu que lance l’amorce perce le papier de la cartouche, ce qui peut ne pas arriver toujours et pour retirer à volonté la cartouche, on éprouve aussi quelques difficultés. D’ailleurs, le canon ne pouvant pas être trempé, l’enclume vissée dessus ne doit pas offrir la même solidité et elle doit même à la longue nuire à la nature du canon. 
L’invention que j’ai opérée au fusil Pauly pour laquelle je sollicite un brevet de S.M.R consiste 
1) dans la forme de la rosette à laquelle j’ai ajoutée un talon ou épaulement D.C.fig 6 sur lequel la lumière se trouve continuée au point P correspondant au même point P fig 7 représentant la bascule vue du côté du canon. 
2) dans l’enclume que je place sur la bascule qui doit toujours être trempé et près du tonnerre du canon au point A fig 2 et 3, un petit talon placé en dedans au point P figure 7 vient s’appuyer au point P figure 6 de l’épaulement de la rosette quand la bascule est fermée et sert de conduit au feu de l’amorce jusqu’au centre de la cartouche. 
3) dans un trou qui traverse l’épaulement de n en n figure 6 qui permet d’y introduire un levier avec lequel on peut facilement et sans efforts retirer la rosette ou la cartouche. Les sections B. B. fig 4 faites à la bascule sont destinées à laisser passer et à loger l’épaulement de la rosette à laquelle on pourrait si on le jugeait nécessaire placer une dent ou bouterolle pour fixer sa position dans le canon. Ce perfectionnement dans la construction de l’arme procure les avantages suivants : 1) être toujours assuré par la seule inspection si son fusil est amorcé 2) d’être plus sûr du départ du coup et ce qui est la même chose de l’inflammabilité de la charge de poudre parce que le feu de l’amorce est lancé directement sur la poudre et au milieu de la charge 3) de pouvoir plus facilement changer sa charge, la retirer tout à fait ou la rosette après le coup 4) d’éviter les accidents qui peuvent arriver quand on ignore si le fusil est chargé dans le système où l’amorce est intérieure 5) enfin, de supprimer tout l’ancien mécanisme qui existait dans l’intérieur de la bascule et la communication avec l’intérieur de la platine qui avait lieu par le trou de l’ancienne noix marteaux. 
Paris, le 4 septembre 1826 
Cessier 


Ministère de l’intérieur, comité consultatif des Arts et manufactures 
Séance du 28 septembre 1826 

Le Sieur Cessier a figuré et décrit très clairement les additions et perfectionnements qu’il a apporté au fusil à piston dit à la Pauly et pour lesquels il demande un brevet de cinq ans ; le comité ne voit rien qui s’oppose à l’expédition du brevet. 
Molard Aimé, Guillard-Hénnonville 


Paris, le 14 septembre 1826 
Son excellence monsieur le Comte Corbière, secrétaire d’état au département de l’intérieur 

Excellence ! J’ai l’honneur de vous adresser avec la présente le dessin en double expédition d’une invention et perfectionnement que j’ai apporté au fusil à piston dit à la Pauly. J’y ai joint une description de ces dessins et des avantages que présente mon nouveau procédé comparativement à tous ceux connus jusqu’à ce jour. 
Veuillez, monsieur le Comte, en faire délivrer un brevet d’invention et de perfectionnement de cinq ans de durée pour le dit objet, vous obligerez celui qui a l’honneur d’être avec un profond respect de votre excellence. 
Le très humble et très obéissant serviteur. 
Cessier 
Arquebusier, boulevard Montmartre numéro 10 


Dessin déposé par le sieur Cessier, à l’appui de sa demande d’un brevet d’invention et de perfectionnement formulé à la préfecture du département de la Seine le 18 septembre 1826. Paris, le 10 novembre 1826 
Le ministre secrétaire d’état au département de l’Intérieur 
Corbière 
Le présent dessin certifié 
Cessier

Charles Benoist Victor Delebourse | 1828-06-16

Delebourse was yet another well known gunmaker of the day. He has been on my radar over the years as he was one of the original gunmakers that Lefaucheux would license his patent to and his name is printed on Lefaucheux’s early pinfire shotshell along with the other licensees.

Image Courtesy of Bonhams

He displayed guns at multiple Paris exhibitions where he won multiple awards over the years. In 1828 he patented an improvement to the Pauly guns to fix his perceived issues. He changed the lock mechanism so that it was completely seperated from fouling from the smoke. He also moved the location of the percussion nipples to be closer to the cartridges to make the ignition more reliable.

He also had the flash of the ignition travel two places simultaneously; the the back of the cartridge as normal, and into the side of the cartridge. He claimed this allowed ignition to happen faster and also allowed for the gun to be loaded and shot as a typical muzzleloader if needed.

Lastly he also mentioned that the rosettes could be made out of copper or cardboard.

French Transcription of patent:

Monseigneur, 
Appréciant les avantages du fusil pour lequel Monsieur Paurly a pris dans le temps un brevet d’invention, je me suis appliqué à chercher les moyens de détruire les inconvénients que l’expérience y a fait reconnaître. 
Mes épreuves ayant été couronnées du succès j’ai l’honneur de soumettre à votre excellence les améliorations qui en sont suivies et de la prier de vouloir bien mémoriser en conséquence un brevet de perfectionnement.
Les dessins joints à cette demande vous mettent à même de reconnaître, Monseigneur, premièrement 
1) que dans mon système, ces platines, séparées de la plaque de dessus et de la bascule, offrent un avantage rentable pour la conservation de l’arme, ou ce que de cette manière les ressorts se trouvent parfaitement à l’abri des cruchements et de la fumée d’où l’effet inévitable est de les encrasser et d’oxyder assez promptement, inconvénient qui nécessiterait beaucoup d’entretien et que l’on aurait pas jusqu’à présent entretenu. 
2) que les chiens frappant sur les cheminées qui elles-mêmes sont placées sur la bascule et à deux lignes seulement de la cartouche, l’ignition a lieu plus promptement et s’opère simultanément en arrière et au centre de la charge. 
3) que la platine d’un modèle nouveau, dont l’invention m’appartient, adaptée à ce fusil donne au chasseur la facilité de l’entretien lui-même, vu qu’elle n’est pas plus difficile à démonter que celle du fusil ordinaire. 
4) qu’on peut se servir de la rosette en cuivre ou en carton et même à volonté sans passer deux à la fois 
5) enfin, qu’à défaut de cartouche, ou pour charger ce fusil avec une baguette comme les fusils ordinaires C’est à ces titres, Monseigneur que je sollicite le brevet de perfectionnement pour l’obtention duquel j’ai remplis les formalités exigées. J’ai l’honneur d’être avec un profond respect, 
Monseigneur 
de votre Excellence 
le très humble et très obéissant serviteur de 
Delebourse


Ministère du Commerce et des Manufactures,
Comité consultatif des arts et manufactures
Séance du 5 juin 1928

Le Seigneur Delebourse, qui demande un brevet d’invention et de perfectionnement de cinq ans pour diverses modifications au fusil de Paurly ayant joint à l’exposé de vos moyens un dessin avec légende qui les fait connaître suffisamment, le comité consultatif est d’avis que rien ne s’oppose à la délivrance du brevet.
Bruney, Molard, Guillard D’Hannouville


Dessin déposé par le Seigneur Delebourse à l’appui de sa demande d’un brevet formé à la Préfecture du département de la Ferme le cinq mai dernier.
Paris, le 16 juin 1928

Le Ministre secrétaire d’état du Commerce et des Manufactures
A) fusil avec sa pièce de bascule levée le chien au repos
B) la platine droite, le grand ressort derrière
C) plaque de dessus pour maintenir le carrest
D) bascule avec la pièce de côté vue de face
E) Bonnère du canon avec ses tourillons
F) la même pièce que E) en coupe
G) bascule vue de côté avec sa pièce du côté droit et son ressort à crochet à la queue
H) Bonnère du cassoir vu de côté avec sa rosette
I) tonnere vu de bout avec ses tourillons, rosettes et boutrole
a) cartouche, l’une de poudre avec rosette et l’autre de plomb
b) même pièce que a) vue en
c) rosette détachée de la cartouche et vue de profil
d) même pièce vue de facenote : tous les détails sont de grandeur d’exécution